& qui dit que ces orbes scintillants d’Elon dans le ciel ne soient que des sphères d’acier qui réfléchissent l’âme qui halète, plongeant leur furie sidérale si loin au fond du puits que même l’abysse aveugle ne peut en aucune manière nous dérober le grand éclat d’arrogance immortelle que mon souhait secret si humble y trouve un prétexte pour le régal de l’hiératique ? Du retour sur le chemin de la Borée. Vers l’illustre sang arboréel du rubis inimitable !
Comme toujours l'aryensoufi ta prose, et sa maîtrise du mot, est époustouflante.
J'ai particulièrement aimé : "Le cadavre de Kali sur les genoux d'Hésiode, qui déchire, est frustrant" .
Bravo