Une rancoeur mâclée s’abat sur le bord lisière, au berceau de la mer, alors que les tombes attendent des burkas comme des portes de C+R. ( Jésus est là, il dit que demain il y a de la peine qui nous suffit aujourd’hui.)
« Ô mes tous petits, embrassez le gros cul de ce dieu mirage et factice au pénis décapité !
Descendez donc mes jolis au fond du gouffre de votre bien infernale bien pensance concrétisée;
…Maman, la belle Mégère vous aimerait pourtant pour toujours quoi qu’il arrive, rassurez-vous! C’est une Ritale, il n’y a pas meilleure à Sessinet.
La Bible est là pour tout vous dire. »
Cependant, la crasse dans les yeux rende le remède, tolérable. Un peu de chair rose saignante son huile essentielle, de ci, de là. Dans chaque recoin de la raciale indifference éplorée. S’intime dans la plaie de l’aine ancestrale. Au loin, nous voyons, vaguement, combien il nous manquent des idées titillantes & bien retorts. Souvenirs des batifoles quolibets et trinquants ! De Jéricho. De Solomon figé sur sa chaise vermoulue. Une bague de pouvoir, qui dirige, commande.
Des Ifrits qui éclatent (sic) de rire !
Dans son nuage tout plat comme sa terre là-haut, le grand majestueux Gond, nous sourit avec sympathie. « Mais la Terre est creuse, le Ciel est creux !
Le sang celui des innocents, c’est pour moi un beau délice. »
Que la Grande Joie de nos exultantes bêtises nous console tels, comme ces torchons, qui pendent comme des lambeaux du gras embrasés du puissant Zéphyr. Samah Azag!
Suintant. Au Soleil. Que l’impatience démange le régal au repas des charnières repues. Cramoisies. Vermillon. Grenat. Bien rissolé.
« Mais mon petit, au Ciel le très bon Dieu, soulage, la crampe kashère. »
Imbibez la torpeur. Perpléxifiez le point de mire.
Toutes les calamités que vous pouvez imaginez ne sont que des holograms du style ‘David Icke’, des illusions reptilioïdes, pour Mamie ma Mie et les petits enfants, pour les transgenres la police et le Ministère.
Samah Azag !
Ne vous inquiétez pas, c’est une question dit Jean-Pierre de l’Univers en expansion vers des horizons indéfinies qui dévoluent à perte de verrue dans l’oeil. Des bosons, des gluons, des électromagnétiques particules. C’est une Onde Scalar ! Longitudinale qui nous embrasse, avec plein de bisous microondes. Rétrograde et qui avance, vers l’abîme. Vers nul part. Holzwege !
Ô pour le Graphène robotronique dans les veines de Samah ! Yajouj et Majouj.
Le vivants seulement savent qu'ils vont mourir, les morts ne savent rien.
https://www.youtube.com/watch?v=uTbTqtvsG3I