le seul & unique seigneur qui transmigre

Qui, de côté de l’autre dans la pénombre s’achemine, recouvert du voile ténébreux, dans le labyrinthe des casiers en corridor, au bureau des bien-veillants qui nous guident? Veilleurs tout emplumés. Echansons de rouges sombre bien alertes, armés avec sérénité. Aux cuirasses de cuir qui luit Sang Clair.

Ou tout en bas, ils nous semblent à des Martinets. Picorent infligent remords ou excessive infatuation. Automatons articulés comme des doigts issus de-dessous, des sous-vêtements des Elohim.

Qui d’office, expectorent, la nuit ou le jour sous le regard d’Imhotep caché en l’Astral, mal fichu du corps à force du Plomb Graphène. De bitume hydrolat. Des godets en sombre Galène.

Mains qui caressent depuis le vide solaire, les poids lourds et badauds en bagnole, roulant vers l’inconsciente perte des souvenirs d’ÉDOM sur la cabosse des chaussées interrompues, par l’herbe, du chiendent & du peuplier, qui tout juste naissent.

Seigneur. Libre mais esclave en dépit de sa nature prévisible. Prédestinée dans l’âtre des astres des Nymphes acariâtres à faire faux bonde quand même, néanmoins.

Serpent de flame à son heure. Lorsque un autre, dehors du cercle en serpillère en décide. Miel gluant de l’aspic au barattage, conjoint qui brillent là-haut au sommet  scintillant du dome des nuits au lointain regard. Qui narguent. Pénètrent la grandiose anatomique édifice qu’aucuns appellent, l’Ordre Universel. Le Cosmos. The Shinny Light d’Amour d’Ubiquité. Each and everyone of them a Star, but if I say so.

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Satyam, nésvarad anyah, samsari! En vérité, il n’y a pas d’autre qui transmigre, si ce n’est, le Seigneur!

Sankaracharya

                                                          

Voyons cet oeil au Triangle du Feu. Il scrute l’immensité en Hadit. Le Temple de ses désirs en Eros provient de son appétit vorace! Essence de conscience en sapience trans migratoire. Sur une corbeille au corbeau sans effort soutient, la magnifique panoplie de son intellect enchainé que pour un instant, comme reclus. Au fond de mon coeur de résidence.

Le Cygne, l’Aigle le Scorpion conjuguent. Complotent le destin des Larves-Manes. La moite solitude des nuées au sol, naviguant la rosée en dérive, encercle les âmes-ombres au bercail de leur repos d’oubli. Mais moi je retiens, la memoire, le souvenir de mes gestes. De mes crimes qui sont à moi seul, je bannis. Des vertus et actions désuètes, j’énumère le moment où c’était ma joie, et non celle d’un autre que moi qui fût.

Combien rien ne pèse ni même sur des épaules que j’évapore!  C’est l’ensemble de moi-même qui m’appartient!

Sur la Crédence c’est de cette statue que nous fabriquons, d’où je donne des idées de: De Martyr. De Meurtre qui m’attriste. D’Affection pour tout ce qui aspire à être au sein de la parti!

D’Amour & de copulation, d’extase. Je suis le Maître. De la Paix & d’une Guerre. Je suis l’Électrostase.

Voyons. Je suis l’Oeil au Triangle du FEU. Je scrute l’Immensité. Je suis le SEUL, coupable. L’Illusion.

This one is for Jack !