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Il en avait marre que je fasse la baise-main! Que je me roule à l’improviste au sol, retourne ma veste & que je cherche l’espoir dans un placard du bobo, chez les narcissiques de tout genre. Un soulard RSA, un canon aux lèvres, les mains jointes, remerciant Dieu, l’Etat, & le Loto si tant est que le pif pointe le bonheur quand la gueuse n’est pas là.
Il dît, avec bombasse, «debout & que j’emerde les idoles de taçawouf, d’ores et déjà et d’antan.» Il y avaient des fourmis dans la farine, mais le sucre je l’avais mis à l’abri. A côté, auprès du sous-sol, devant la porte dans une jarre. Juste là. Quelques Playboys empilés sous le salpêtre. Les murs étaient humides. Néanmoins, la maison était encore là. L’Estoile de l’au-delà me foudroyait de loin. D’entre des nuages de tempête, un grand sourire béat au bec.
Quelle désastre! que l’attente! D’espérer l’inégalité d’entre les plantains. Maintenant que le TOUT avait été arraché. Le long du Canal. Zero possible quantique. Aucun parallèle. Valait mieux attendre que les chênes tout jeunes et tendres, poussent. Que les anguilles s’y habituent. Que la Dorade ne revienne plus jamais. Que le pétrole des péniches renouvelle avec dépêche, l’huileux aspect de la flotte ridée. Toute grande mère mérite Ephad! Et la Minervoise.
Le Monde attendait d’être sauvé, mais heureusement que le dieu était là, et me rassurait, qu’il était encore temps que de foutre le bon vieux terreux au trou. Avec sa Gaia! Avec les dinosaurs. Allez et up, 6 bons pieds sous terre. Avec mon X, à pourrir. Quelle joie et doux baume in petto.
En attendant que le Printemps de mes orteils se réveille!
Et que Mercure revienne au gallop. Et arrête de trainer!
le dieu, il voulût que je transcende
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